histoire
Atem est le fils de l'amour intemporel d'une grande tatoueuse et sorcière africaine, Nekia Njerawi, et de son mari, rencontre du destin au caire, l'historien Abel Goodenough. Lui sort de Tahoera'a, elle de Uagadou, mais leurs différences ne sont rien face à l'affection qu'ils vont se porter mutuellement et les faire s'installer dans la capitale de l'ASU, huit mois après leur rencontre, en 2066. Ils continueront de travailler pour ce qu'ils ont toujours aimé, elle dans l'art magique, lui dans les dates qui ont changé le monde.
Qu'ils aient désiré et aimé Atem est un euphémisme. Ils ont été comblé de le voir naître, et il a été élevé dans une routine modeste mais agréable. Le petit a toujours été curieux, maladivement. Pas mal d'accidents ont été évités de peu par des parents prévenants, car le garçon prenait tous les risques pour tester des choses, en apprendre d'autres, un savant mélange du côté artiste de sa mère et du passionné de culture qu'était son père. Sa magie s'est révélée tôt et il n'a eu de cesse d'en tester les limites.
A l'école, bien que repris très souvent par les professeurs pour son côté un peu trop borderline sur le règlement, le jeune garçon s'est passionné pour les études et par la pratique de la magie dans toutes ses formes. D'un naturel sérieux, il a essayé de participer à tous les cours qu'il pouvait, il s'en est sorti avec une vie sociale réduite mais de très bons résultats et une reconnaissance de son niveau par l'école, ce qui lui a ouvert les portes des études poussées en Atlantide. Il aurait pu bien sûr continuer d'apprendre dans son pays, mais il était curieux, encore une fois. Même la technologie l'avait toujours fasciné. Elle permettait aux humains de faire des choses incroyables, de voler, de se déplacer, de savoir des choses, et même de se téléporter. Pour lui, la techno était presque une magie à part entière. Loin d'être dans le Noir et le Blanc, tout était gris pour lui. Découvrir le reste du monde, comment marchait la magie tout autour du globe, voilà ce qui était devenu son rêve.